François est un jeune professeur de français dans un collège difficile. Il n'hésite pas à affronter Esmeralda, Souleymane, Khoumba et les autres dans de stimulantes joutes verbales, comme si la langue elle-même était un véritable enjeu. Mais l'apprentissage de la démocratie peut parfois comporter de vrais risques.
Un jour qu’il pérore sur la nécessité d’envoyer dans les banlieues les meilleurs et les plus expérimentés des professeurs, François Foucault, lui-même enseignant de lettres au très prestigieux lycée parisien Henri-IV, est pris au mot par une représentante du ministère de l’Éducation nationale. Le voilà obligé de quitter son lycée de prestige et de passer le périphérique, direction le collège de banlieue Barbara, à Stains, classé REP +.
« La vie scolaire »
(邦題「スクールライフ パリの空の下で」)
フランス・2019
Samia Zibra, jeune et inexpérimentée, débute comme conseillère principale d'éducation (CPE). Originaire de l'Ardèche, elle demande un poste en région parisienne pour des raisons particulières. Elle découvre ainsi le collège en zone d'éducation prioritaire (ZEP) de la cité des Francs-Moisins, à Saint-Denis en Seine-Saint-Denis. Elle y rencontre de nombreux problèmes, notamment le manque de discipline et la réalité sociale du quartier. Elle découvre cependant l'incroyable vitalité et l'humour (des élèves comme des surveillants) qui règnent dans l'établissement. Dans l'équipe des surveillants, Samia peut notamment compter sur Moussa, le « Grand » du quartier, et Dylan, le chambreur. Samia va peu à peu s'adapter à ce nouvel univers. Sa situation personnelle la rapproche de Yanis, un élève vif et intelligent avec un potentiel gâché par son insolence et mis dans la classe des « SOP » (sans options). Samia va cependant essayer de le sortir de son échec scolaire pour lui proposer un avenir meilleur.
Basé sur une histoire vraie remontant à 2009, ce film relate l'aventure qui découlera de l'accord, donné à une professeure du lycée Léon-Blum de Créteil (Val-de-Marne) par les élèves de sa classe de seconde réputée la plus faible, de les présenter et de les préparer au Concours national de la résistance et de la déportation, sur le thème : « Les enfants et les adolescents dans le système concentrationnaire nazi ». D'abord houleuse et frustrante, l'atmosphère va bientôt évoluer, au contact d'un rescapé des camps et sous l'intensité dégagée lors de la visite du Mémorial de la Shoah.
Ils viennent d’arriver en France. Ils sont Irlandais, Serbes, Brésiliens, Tunisiens, Chinois ou Sénégalais... Pendant un an, Julie Bertuccelli a filmé les échanges, les conflits et les joies de ce groupe de collégiens âgés de 11 à 15 ans, réunis dans une même classe d’accueil pour apprendre le français. Dans ce petit théâtre du monde s’expriment l’innocence, l’énergie et les contradictions de ces adolescents qui, animés par le même désir de changer de vie, remettent en cause beaucoup d’idées reçues sur la jeunesse et l’intégration et nous font espérer en l’avenir…
Waël, un ancien enfant des rues, vit en banlieue parisienne de petites arnaques qu’il commet avec Monique, une femme à la retraite qui tient visiblement beaucoup à lui.
Sa vie prend un tournant le jour où un ami de cette dernière, Victor, lui offre, sur insistance de Monique, un petit job bénévole dans son centre d’enfants exclus du système scolaire.
Waël se retrouve peu à peu responsable d’un groupe de six adolescents expulsés pour absentéisme, insolence ou encore port d’arme.
De cette rencontre explosive entre « mauvaises herbes » va naître un véritable miracle.
The film follows students into the classrooms of High Tech High, a public charter school in San Diego, California. The film combines commentary by a variety of people and follows two groups of ninth graders over the course of a year. The director's experiences with his daughter's school shape the opening to the film and inform his approach to the content and pedagogy of High Tech High. The film takes a closer look at the experiences of several individual students enrolled at the school.